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ACTU
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A l’affiche à partir du 27 septembre 2017.
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Après son biopic sur Patrice Lumuba (Lumuba, 2000) et son évocation des combats de l’intellectuel Afro-américain James Baldwin dans I’m not your negro (2017), Raoul Peck se penche sur la jeunesse de l’un des philosophes les plus influents du XIXème siècle (et même bien au-delà) avec Le jeune Karl Marx. Revenant sur son exil parisien et sa rencontre avec Friedrich Engels, il explore la genèse de ce texte politique fondamental qu’est “Le manifeste du Parti communiste” en 1848 et brosse un saisissant portrait d’une Europe de la Révolution industrielle au bord de l’explosion sociale. Optant pour une approche documentaire avec son scénariste Pascal Bonitzer (avec qui il a déjà collaboré sur Lumuba et L’affaire Vuillemin), le réalisateur haïtien et directeur de la FEMIS rétablit une certaine objectivité sur le Marxisme et son Histoire, loin des clichés propagandistes de la Guerre froide qui encensèrent ou diabolisèrent le personnage. Tout en retournant sur les traces d’un Karl Marx journaliste et ancré dans son temps, il cherche également à s’éloigner des codes hollywoodiens et stéréotypés du “biopic” pour proposer une réflexion plus générale sur l’engagement politique en période de profondes mutations économiques.
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Le jeune Karl Marx
de Raoul Peck
Avec August Diehl, Stefan Konarske, Vicky Krieps, Olivier Gourmet
Durée : 1h58
1844. De toute part, dans une Europe en ébullition, les ouvriers, premières victimes de la “Révolution industrielle”, cherchent à s’organiser devant un “capital” effréné qui dévore tout sur son passage. Karl Marx, journaliste et jeune philosophe de 26 ans, victime de la censure d’une Allemagne répressive, s’exile à Paris avec sa femme Jenny où ils vont faire une rencontre décisive : Friedrich Engels, fils révolté d’un riche industriel Allemand. Intelligents, audacieux et téméraires, ces trois jeunes gens décident que “les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde, alors que le but est de le changer”. Entre parties d’échecs endiablées, nuits d’ivresse et débats passionnés, ils rédigent fiévreusement ce qui deviendra la “bible” des révoltes ouvrières en Europe : “Le manifeste du Parti Communiste”, publié en 1848, une œuvre révolutionnaire sans précédent.
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